Au total, la France compte 25,8 millions d’emplois salariés – près de 20 millions dans le secteur privé et 5,8m dans le secteur public.
En 5 ans, la population active a gagné environ 500 000 personnes. Le million de postes créés a donc permis la baisse du nombre de demandeurs d’emploi d’environ 500 000 personnes soit une réduction de 17% par rapport à 2016.
Un taux de chômage qui tend à la baisse
La baisse du chômage a profité aux jeunes de moins de 25 ans, mais aussi aux plus de 49 ans dont le taux de chômage depuis 2016 a aussi baissé.
En septembre 2016, 10% des femmes étaient demandeuses d’emploi. En septembre 2021 elles ne sont plus que 8% et font jeu égal avec les hommes !
Mais... Il y a encore du boulot !
629 000 jeunes de moins de 25 ans sont demandeurs d’emploi – record d’Europe – (taux de chômage de 20% contre 16% en Europe).
Avec un taux de chômage de 8%, la France est loin derrière l’Allemagne qui est à 3,3% et se situe au dessus de la moyenne européenne – 6,70%.
Le taux d’emploi des Français ne s’élève qu’à 65,3% versus 76,2% en Allemagne : ça coince chez les moins de 25 ans et les plus de 55 ans avec des taux d’emploi respectivement de 28,5% et 53,8%. Consolation : l’Europe est à 67,7% !
Taux d’emploi en Europe
Les secteurs les plus créateurs d'emplois en France
L’essentiel des emplois est créé par le tertiaire marchand, la construction et le tertiaire non marchand :
800 000 emplois créés
160 000 emplois créés
100 000 emplois créés
La désindustrialisation Française affecte l'emploi
L’industrie a détruit 24 000 emplois en 5 ans, et plus de 1 million en 30 ans. Et cette part de l’industrie dans le PIB est très faible.
L’impact sur l’emploi industriel est implacable : la France génère 3 millions d’emplois contre 6 millions en Allemagne. Séquence nostalgie : En 1989, l’emploi industriel français, c’était 4,3 millions d’emplois.
Après une carrière de 20 ans dans la banque en ligne et rythmée par la création de projets entrepreneuriaux comme Orange Bank et BforBank, André décide en 2019 de mettre à profit son expérience financière au service d’une cause noble.
Convaincu que les grandes entreprises associées à l’univers de l’actionnariat ont les leviers d’action les plus efficaces, c’est l’emploi national qu’il défend avec le lancement d’Humpact.